La plus vieille blague du monde : une fenêtre sur l’humour sumérien

L’histoire de l’humour remonte à des milliers d’années, et une des plus vieilles blagues du monde nous vient de la civilisation sumérienne, située dans l’actuelle Mésopotamie (aujourd’hui l’Irak). Cette blague, datant d’environ 1900 avant notre ère, témoigne de l’humour et des plaisanteries qui ont traversé les siècles. Elle se lit ainsi :

« Ce qui n’est jamais arrivé depuis des temps immémoriaux : une jeune femme ne pète pas sur les genoux de son mari. »

Cette blague illustre non seulement le type d’humour apprécié à cette époque, mais aussi l’importance des sujets corporels dans les plaisanteries de l’humanité. Bien que les cultures et les époques varient, l’humour reste un aspect constant et universel de l’expérience humaine.

L’humour corporel, comme le montre cette blague, a toujours trouvé un écho dans les différentes civilisations. Le rire et les plaisanteries étaient des moyens de socialiser, de communiquer et parfois même de critiquer ou de réfléchir sur les mœurs de leur temps. Les Sumériens, avec cette blague, nous offrent une fenêtre fascinante sur leur quotidien et leurs interactions sociales.

Origine et signification de la blague sumérienne

Cette blague est une sorte de paradoxe, jouant sur l’ironie et l’exagération pour provoquer le rire. Elle évoque une situation qui, selon l’auteur, ne se produit jamais : une femme qui ne péterait pas sur les genoux de son mari. Cette image surprenante et incongrue est destinée à amuser et à souligner la normalité de certains comportements humains, même ceux que l’on considère comme tabous ou embarrassants.

En étudiant cette blague, les chercheurs peuvent en apprendre beaucoup sur la société sumérienne, notamment sur leurs relations de genre, leurs tabous et leurs formes de divertissement. La mention du mariage et de l’intimité dans cette blague indique également l’importance de ces thèmes dans leur culture.

L’impact de l’humour à travers les âges

L’humour a toujours été un outil puissant pour rassembler les gens et pour surmonter les difficultés. Les blagues comme celle-ci montrent que même les premières civilisations trouvaient des moyens de rire et de se divertir. L’humour servait non seulement à détendre l’atmosphère, mais aussi à renforcer les liens sociaux et à transmettre des messages de manière légère et accessible.

En explorant des blagues aussi anciennes, nous réalisons que, malgré les différences culturelles et temporelles, certains aspects de l’humour restent constants. Les plaisanteries sur les fonctions corporelles, par exemple, semblent universelles et intemporelles. Elles transcendent les époques et les cultures, prouvant que l’humour est une composante fondamentale de la nature humaine.

Conclusion

La plus vieille blague connue de l’histoire, provenant de la civilisation sumérienne, est un témoignage précieux de l’humour ancien et de la façon dont les gens interagissaient et se divertissaient il y a des millénaires. Cette blague, simple mais efficace, continue de nous rappeler que le rire est une partie intégrante de l’expérience humaine, traversant les âges et les cultures pour nous connecter à nos ancêtres de manière surprenante et amusante.

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